kecekecé que ça ????

un petit sac pour les courses imprévues à avoir toujours avec soi

Je ne vous ferai pas l'offense de vous donner la recette, mais  mon fiston qui a tout fait cuire avec sa dulcinée aime bien mettre de la bière dans sa pâte à la place de la levure, ça lui donne de la légèreté

                                              Quatrième de couverture

Mildred Pierce, petite femme aux cheveux blonds mousseux et aux yeux bleus limpides, décide de se séparer de son mari ; c'est, dit-elle, parce qu'il court après une certaine Mrs. Biederhof, mais surtout parce que, victime de la crise de 1929, il est sans travail et en prend trop aisément son parti. Elle doit pourtant gagner sa vie, et celle de ses filles, alors, pour s'en sortir, elle vend les " pies " faits maison, et travaille comme serveuse dans un restaurant. Mais cela ne suffit pas, du moins pas aux yeux de sa fille aînée, Véda, alors Mildred se lance dans les affaires et ouvre son propre restaurant " Mildred Pierce, Poulet - Gaufres - Pies ", suivi d'un deuxième, puis d'un troisième. Elle fait aussi la connaissance de Monty Beragon, un jeune et élégant oisif, devient sa maîtresse, puis, lorsqu'il est ruiné, l'entretient. Or, pendant ces années de lutte, Véda grandit et devient une rivale redoutable au caractère orgueilleux. cupide et méprisant, et Mildred, rejetée et bafouée, se retrouve, après un drame affreux provoqué par sa propre fille, seule, pauvre et vieillie...


James Cain a écrit principalement des romans noirs et a acquis sa notoriété comme auteur de romans policiers. Mildred Pierce tient une place particulière dans son œuvre : c'est un roman de mœurs, une critique sociale, et un portrait de femmes particulièrement réussi, émouvant et drôle.

traduit de l'américain par Sabine Berritz

voilà 2 sacs que j'ai fait  pour ma copine Suzy

recto                                                                               verso

intérieur

jean et tissu africain

extérieur                                       sergé noir et toile de store

                                         intérieur

Allez faire un tour par ici  vous m'en direz des nouvelles

merci Myriam

  Je suis très frileuse et je prends souvent une bouillotte pour me réchauffer les pieds au lit , mais j'en avais assez aussi de me brûler .Je me suis donc cousu un petit étui en polaire, et ma foi j'en suis assez contente pour un truc fait à l'arrache sans patron...

Ces petites trousses, très utiles pour ranger tout un tas de bazar, ont été cousues selon le tuto très bien fait de Bambou

    J'ai pris une grosse toile imperméable et j'ai cousu sur le rabat des motifs d'un tissu africain en appliqué. Son destinataire (le bariolé)  m'a dit qu'elle lui était bien pratique.

Robes trapèze des Intemporels  (même pas encore repassées)

Un livre que j'ai refermé ce matin

Ils vous en parleront mieux que moi

"Claire Wolniewicz est une singulière conteuse. En effet, rares sont les livres que l’on découvre distraitement et qui, dès les premières pages, vous entrainent jusqu’au dénouement sans férir. Le Temps d’une chute est de cette étoffe-là. […] Claire Wolniewicz offre une fresque flamboyante et intimiste. Haute couture. »

Christine Rousseau, Le Monde

« Ca fourmille comme dans un atelier Chanel, les souvenirs défilent comme dans un show Balenciaga ; ce roman a la légèreté du crêpe de soie et le chatoiement d'une robe en taffetas ! »

C. Goldszal, Elle

« Madelaine, ses amours avec Tadeusz, rescapé d'Auchwitz, son incapacité à aimer sa fille unique, son tourbillon dans le monde de la mode quarante ans durant font de son parcours une traversée emblématique du XXe siècle. »

Stéphanie Janicot, Muze

« L'histoire du XXe siècle vue à travers le chas d'une aiguille. »

  E. Friedmann, Vivre plus

« Voici un roman touchant, simple et sincère. Un de ces romans qu'on lit trop rarement. Claire Woniewicz s'attache à nous montrer comment, en un seul être, on peut appréhender une époque tout entière. »

Xavier Houssin, Marianne

Un autre roman qui se déroule dans le domaine de la mode

   De Doris Lessing   Les carnets de Jane Somers 

Tome 1 :Journal d'une voisine

Une femme mûre , élégante, qui a réussi sa vie professionnelle prend conscience grâce à une rencontre avec une vieille dame qu'elle est passée à côté du sel de la vie. Une belle histoire d'amitié.

Dans le second tome : Si vieillesse pouvait , Jane Somers se heurte à ses propres limites. Limites d'un amour impossible et d'une relation difficile avec une nièce à la dérive.