Mes neveux et nièces viennent  nous voir bientôt, je vous montre un petit bout des cadeaux qui les attendent

Pour un grand garçon qui aime le rouge

Pour son frère qui aime le vert

Et pour la petite soeur qui est une vraie fille et qui aime les trucs de fille

Désolée le tissu vert n'est pas rendu à sa juste couleur, il est beaucoup plus pétant

vous en verrez un peu plus quand ils auront réceptionné leur cadeau des fois que ma soeurette viennent zieuter par ici

Pour l'été, un sac bleu

Sergé et tisssu africain

Intérieur bazin, deux poches

Et la petite pochette assortie

Les tambours du Burundi

Le Snob

Un cheval ailé

Des percussionistes infatigables

Des acrobates

Des jeux pour les petits

Un feu d'artifice

Une belle fête !

Merci à Pierre pour son travail sur les photos

Quand j'ai lu le post de Tana, je me suis souvenue de vieux trésors endormis au fond de mes armoires. Parce que comme elle, plusieurs générations de femmes de ma famille font partie des fées tisseuses. Qui reprendra le flambeau parmi les filles de la nouvelle génération, Lucie ? Sarah ? Flora ?

Voilà ce que je vous ai déniché

Une vieille chemise cousue et portée par une lointaine Héléna, je dis lointaine par le temps qui nous sépare . Elle a vécu à la fin du XIX siècle.

Cette chemise m'a été donnée par ma grand-mère, je l'ai beaucoup portée plus jeune, maintenant je n'oserais plus car de petits trous ont fait leur apparition , et je ne saurais  pas repriser comme nos aieux ....

regardez l'encolure

plus près

j'ai pas intérêt à perdre un bouton parce que j'aurais du mal à en trouver de si petits

maintenant le dos

petit trou qui est prié de ne pas s'agrandir

De chaque côté, deux grands soufflets pour donner de l'aisance, la chemise a-t-elle été taillée ainsi ou dame Héléna a-t-elle pris du poids ???  le mystère reste entier...

Je tenais encore à vous montrer les finitions intérieures, c'est pas de la couture anglaise mais ça la vaut bien, cependant en regardant la régularité des points je pense qu'Héléna devait avoir une machine à coudre..

voilà pour la chemise d'Héléna

j'ai encore d'autres trésors à vous montrer mais je dois faire chauffer mon fer à repasser.....

Et chez vous , quelles merveilles anciennes se cachent ???

Collages d'après des photos récupérées dans de vieux magazines, mais au contraire de Dame Tana, je ne les prends que pour les couleurs ou les textures.  Encore un point en commun  Tana....

Le même de plus près

De vieilles chaises récupérées chez la grand-mère de mon ours et entièrement remises à neuf par ses petites mimines et celles de grand fiston

Comment Manny a foiré le twenty two squares' bag

Elle s'était bien amusée à préparer ses 22 carrés en mélangeant consciencieusement jean, batik et broderie, au moment de l'assemblage elle a commencé à pester parce que le jean c'est épais. et puis elle a a insisté , deux aiguilles y ont laissé la vie. Elle a même embété Madame Petit caillou pour lui demander des conseils. Mais elle le trouvait bien petit ce sac, ben oui elle avait taillé des carrés de 10x10 . Alors au fur et à mesure du montage elle s'est rendu compte que ça ne ferait pas un sac mais tout juste une petite trousse toute moche, toute biscornue. Et sa fille toujours prête à rire en a trouvé une autre utilisation

Je n'ose même pas vous montrer l'intérieur c'est une horreur

Je tiens à préciser que les ray bans ne viennent pas de l'Elysée, elle font partie des panoplies de déguisement de mes ados...

La prochaine fois Manny prendra un tissu moins épais que le jean et coupera les carrés plus grands.....

Un beau bouquet

Un bon bouquin

Moment de bonheur

Présentation de l'éditeur
La famille Lucas vit dans le nord du Wisconsin, belle terre oubliée peuplée d'ouvriers européens immigrés et d'Indiens ojibwés. En 1967, le père, John Lucas, miné par l'alcool, laisse leur ferme se délabrer et s'acharne violemment contre sa femme et ses deux fils ; l'aîné, James, fuit les coups en écoutant Elvis et s'engage dans les marines. Il est dirigé vers les jungles de guerre vietnamiennes. Bill, le cadet, reste pour protéger sa mère, guidé seulement par l'esprit de son frère. Heureusement, dans la ferme voisine, les Morriseau veillent sur lui et le soutiennent pendant le périlleux passage de l'enfance à l'âge d'homme. Les enfants ont un tel instinct de survie, nous dit Mary Relindes Ellis dans ses descriptions magnifiques des paysages du Midwest américain, qu'ils trouvent dans la nature ce que leur environnement familial leur dénie. Et comme les anciens Ojibwés le savent depuis longtemps, ils y trouvent aussi la sagesse et la clairvoyance. Mary Relindes Ellis signe ici un premier roman étonnant, obsédant, lyrique et rédempteur dans la lignée d'un Sherwood Anderson ou d'un Russell Banks.

Biographie de l'auteur
Mary Relindes Ellis écrit des nouvelles. Wisconsin est son premier roman. Elle vit à Hammond, dans le Wisconsin.

C'est un roman d'une force exceptionnelle, qu'on a regret de voir se terminer et qui nous rend plus fort

Bravo Pierre! tu l'as eu . Tout le monde ici est fier de toi.

Bonne route sur le chemin de ta vie