Un dessert simplissime mais so délicious



Un yaourt battu avec un peu de sucre

Si tu ne crains pas le gras tu peux ajouter un soupçon de crème fraiche

Un peu de fruits rouges surgelés

Une meringue coupée grossièrement au couteau

Maintenant régale-toi

Mon HSE aujourd'hui c'est
la découverte d'un beau film
Le premier cri
documentaire sur l'accouchement de plusieurs femmes dans le monde
Un beau témoignage , même si on aimerait suivre ces femmes plus longuement parfois



Les autres hse sont chez Poppy

Mavacre nous propose un  jeu sur son blog
Montrer l'atelier ou coin d'atelier (en ce qui me concerne) où vous bidouillez
Vous avez jusqu' au 17 octobre pour participer


Alors vous êtes prêtes

Attention!!!
(roulements de tambours )
voilà l'endroit qui me sert d'atelier

Fermé

Ouvert

Je squatte un petit coin du salon , et encore je ne vous montre pas les autres petits coins qui se développent dans divers endroits de la maison...(sous les lits, dans des placards...)

alors j'essaie d'être discrète parce que je ne suis pas toute seule à la maison....

Ma petite collection de boutons

Ma boite à ouvrages

Ma bibliothèque spéciale couture

Et  quand je m'installe, ça donne ça...

vous remarquerez que je ne suis pas seule à squatter la table

on aime bien travailler en famille chez nous

Un petit message de votre part pour les soutenir et ce sont 5 euros versés pour la lutte contre le cancer du sein

ça vaut le coup

Alors allez-y foncez !

Une belle action à l'initiative de Martine
Il ne nous reste plus beaucoup de temps alors vite faites chauffer la MAC et pensez aux potirons avant le 17 octobre

Lambeaux

Charles Juliet

Dans ce récit autobiographique l’auteur nous trace deux portraits. Celui de sa mère biologique  internée  alors qu’il avait un mois, et celui de sa mère adoptive à laquelle son père  l’a confié à l’âge de trois mois.

Charles Juliet fait prendre vie littéralement à sa mère, on la suit de son enfance à sa mort.  Elle a été internée à l’asile à la suite d’une tentative de suicide un mois après la naissance de son quatrième enfant (l’auteur), harassée de douleur de fatigue et de solitude. Elle n’en ressortira pas, et mourra dans des circonstances effroyables.

 Son père place alors le bébé dans une famille qui l’accueillera et l’élèvera comme son propre enfant. Charles Juliet nous livre le portrait de cette mère d’adoption qui par son amour réussira à lui apporter la réassurance nécessaire pour en faire un être debout. Malgré tout sa vie sera parsemée de doutes de douleurs et de failles. Il nous trace ensuite son parcours chez les enfants de troupe puis ses études, rapidement abandonnée pour se tourner vers l’écriture qui jouera pour lui un rôle salvateur.

Ce récit à l’écriture simple et limpide est très émouvant et passionnant et bien que sa vie ait été marquée dès le début par une souffrance extrême, l’auteur nous livre un message de force et d’espoir.

Quand Lisa propose un petit jeu sur son blog je participe

Cette fois elle a envie de connaitre ce qui illumine nos maisons

Alors voilà quelques une de nos lumières

Dans le séjour

Dans les chambres

Dans l'entrée

Dans la salle de bains

et puis une lumière vintage,

 d'avant la disparition du bloc soviétique

Pour mon HSE  ce soir

encore de belles
couleurs d'automne au jardin










Pour les autres photos allez voir chez Poppy

Mais
Qu'est-ce qu'on avait dit ??
Plus d'achat de tissu

Ah oui mais là je n'y suis pour rien
c'est les copines
je ne demande rien  et on m'en apporte
je ne vais pas refuser quand même !

Bon je vais chercher , il me reste bien un petit coin pour les ranger....

Avis de tempête

Susan Fletcher

Moira, jeune femme de 28 ans, est au chevet de sa petite sœur Amy. Celle-ci est dans le coma depuis quatre ans à la suite d’une chute inexpliquée.

Moira se raconte à sa sœur, raconte ses relations difficiles avec ses parents depuis son arrivée. Avec ses amis d’école, puis avec Ray l’homme qui l’aime et qu’elle aime, mais dont elle a du mal à croire que son amour pour elle est sincère. Par cette confession auprès d’une sœur muette Moira nous trace ses difficultés à vivre et à aimer, cette carapace de travail de solitude et de douleur qu’elle s’est forgée échappant ainsi à son incapacité à s’abandonner à l’amour des autres. Le seul abandon auquel Moira semble se laisser aller  c’est celui de la beauté de la nature environnante dont elle nous fait une description superbe.

 J’ai trouvé  parfois certains moments un peu longs mais à la réflexion cette lenteur fait partie du processus par lequel Moira revient sur sa vie, analyse ses relations aux autres et s’intègre tout à fait dans le roman.

Un très beau moment de lecture